Le principe quantique

La science est le fait d’observer un sujet ou une réaction suite à une expérience et d’en tirer une conclusion.

L’esprit scientifique tire les conclusions de ce qui est observable, donc concret : un plus un égal deux. Pas d’alternative, ni de discussions : les expérience parlent d’elles-mêmes, il n’y a pas à y revenir. La matière « fonctionne » selon un ordre établi et l’expérience peut être répétée à l’infini avec toujours un résultat identique.

Dans la science quantique, le regard porte au-delà du concret et du visible, dans le champ des énergies dont le monde est entièrement composé, de l’infinitésimal à l’infini.

Une expérience observée par un certain regard produit une certaine réaction. Comment se fait-il que cette même expérience observée par un autre regard produise une réaction différente ?!

La science quantique démontre que tout est énergie.

L’expérience produit une énergie, mais le regard de l’observateur et l’observateur en produisent aussi. L’équation de ces énergies ne portent pas au même résultat selon l’énergie produite par le scientifique (pour une approche plus détaillée, lire « Mort ou pas » de Pim van Lommel entre des milliers d’autres lectures).

Pouvons-nous prendre de la hauteur et envisager un instant que notre regard porté sur un événement va modifier la finalité de cet événement ?

Pouvons-nous prendre de la hauteur et envisager un instant le pouvoir de notre pensée ?

Cela voudrait dire que quand j’observe un humain ou un groupe d’humains, donc une « forme » d’énergie en mouvement perpétuel (l’énergie ne s’arrête jamais) avec suspicion, colère, rancune ou jugement, je projette sur cette forme une énergie de suspicion, colère, rancune ou jugement qui va se « coller » à cette autre énergie et lui donner la « couleur » de mes émotions ?

La nature nous offre bon nombre d’exemples de notoriété publique.

Un exemple tout simple et démontrable par tout un chacun : l’attention donnée à une plante cultivée. Combien de personnes ont pris conscience en jardinant ou en arrosant ses bégonias qu’il faut s’approcher des plantes avec bienveillance et un esprit empli de douceur et d’attention pour que les plantes grandissent, fleurissent et prospèrent ?

Il existe plusieurs centres de par le monde qui font des expérience dans ce sens, notamment à Findhorn, tout au nord de l’Ecosse, dans des conditions extrêmes, avec des résultats surprenants et plus que probants.

Mais revenons à nous.

Combien parmi nous observe-nt son conjoint, son enfant, son voisin, l’autre, avec un esprit très critique et se réconforte ainsi :

– Pfff ! M’étonne pas ! Quel-le incapable ! … (ou n’importe quel autre nom d’oiseau)

sans s’apercevoir qu’il-elle renforce ainsi l’incapacité (ou tout autre jugement porté) du sujet observé ?

Je deviens vecteur de cette énergie négative que je propage en paroles ou pire ! en pensées ! 🙂 (si je souligne cette remarque d’un petit sourire, c’est parce qu’il est simple de prendre conscience de nos propres paroles que nos oreilles entendent et que nos lèvres articulent, mais moins facile de prendre conscience de nos pensées que notre ego camoufle en réalité toute relative !)

Et si nous essayions, chacun à notre envi, chacun à notre convenance, de veiller une heure (ou une journée, ou une vie) à générer des paroles bienveillantes et confiantes, des pensées de compassion, de douceur, d’amour, à tout, absolument TOUT ce qui nous interpelle pendant cette heure … ?

De quel merveilleux battement d’ailes de colibri ou de papillon sommes-nous capables ?

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