Tout est énergie (2)

Juste un regard facile à faire… un peu plus d’amour que d’ordinaire…

Du plus petit au plus grand, tout est un immense champ énergétique.

L’univers infini est champ énergétique. L’Un est champ énergétique indissociable et inter-relié.

L’homme dit civilisé s’acharne à bouleverser ce champ énergétique sans aucune conscience : toujours plus, toujours plus vite.

Il épuise les sous-sols en arrachant ses sucs vieux de milliers d’année. Ce fameux pétrole dont il ne peut plus se passer : pour se chauffer, pour se déplacer, pour se vêtir, dans tous ses objets familiers, il va même jusqu’à le mâcher : mouvement, mouvement, mouvement ! Quand il est énervé, il s’en fait même mal à la mâchoire ☺!

Il pompe l’eau des sources, la lymphe de la terre, purifiée par des milliers d’années de filtrage par les roches.

Il arrache, pompe, tire, pousse, modifie à son seul agrément ce merveilleux champ énergétique.

Il retire là pour redonner ici. Il épuise les poumons de la terre en tuant ses alvéoles, les précieuses forêts amazoniennes, la canopée, pour faire pousser la graisse qui tuera ses bronchioles à lui : l’huile de palme.

En étouffant la terre, il s’étouffe !

Tout, toujours plus vite, sans aucune conscience.

Il mange des tomates, des fraises en hiver ! Il se gave de jus d’agrumes pour maintenir sa santé, à contre-sens de toute logique : les agrumes poussent dans les pays chauds pour rafraîchir les organismes échauffés par le soleil, alors qu’en hiver, son organisme à lui a besoin de « terre » : de sels minéraux tirés des choux, des raves… illogisme, inconscience.

Pour « communiquer » pour « s’informer » plus vite, toujours plus vite, il implante des antennes catastrophiques pour les êtres « éveillés » : les oiseaux migrateurs, qui voyagent « à l’écoute » des champs énergétiques, meurent, s’affolent; la végétation panique; la petite cellule reliée au grand Tout perd sa densité et explose. Il menace la santé pour pouvoir s’informer sur sa santé ! ☺

Illogisme, inconscience !

Il voyage au sol, dans les airs, toujours plus vite, toujours plus vite ! Il rencontre ces personnes qu’il nomme « sous développées », il les observe d’un oeil curieux et scientifique, manger des termites, vivre au rythme de la lumière, honorer les ressources de la terre. Il les observe fêter les naissances, et, horreur à ses yeux : fêter les morts !

Pauvre inconscient, pauvre endormi ! Éveille-toi petit homme, éveille-toi petit humain civilisé ! Stop !!! Vis, respire, admire, écoute, caresse, pleure tes larmes de joie, apprends du plus petit que toi : il est ton Maître. Apprends de la terre nourricière, elle est ta mère. Son lait se tarit, son champ énergétique s’affole à retrouver son point d’équilibre, mais sa vibration, c’est toi seul qui la lui donne ! Éveille-toi, petit diapason, éveille-toi … dans l’Amour.

IL FAUDRA LEUR DIRE

Paroles et musique : Francis Cabrel © Chandelle productions

Si c’est vrai qu’il y a des gens qui s’aiment
Si les enfants sont tous les mêmes
Alors il faudra leur dire
C’est comme des parfums qu’on respire
Juste un regard facile à faire
Un peu plus d’amour que d’ordinaire

Puisqu’on vit dans la même lumière
Même s’il y a des couleurs qu’ils préfèrent
Nous, on voudrait leur dire
C’est comme des parfums qu’on respire
Juste un regard facile à faire
Un peu plus d’amour que d’ordinaire

Juste un peu plus d’amour encore
Pour moins de larmes, pour moins de vide, pour moins d’hiver
Puisqu’on vit dans les creux d’un rêve
Avant que l’amour ne touche nos lèvres
Nous on voudrait leur dire

Les mots qu’on reçoit
C’est comme des parfums qu’on respire
Il faudra leur dire

Facile à faire
Un peu plus d’amour que d’ordinaire

Si c’est vrai qu’il y a des gens qui s’aiment
Si les enfants sont tous les mêmes
Alors il faudra leur dire les mots qu’on reçoit
C’est comme des parfums qu’on respire
Il faudra leur dire… Facile à faire…

CC BY-NC 4.0 Cette œuvre est sous Licence Creative Commons Internationale Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale 4.0.

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